Quand une assurance dentaire privée ou collective n’en est pas vraiment une !

Assurance dentaire privée ou collective

Jetez-vous votre argent par les fenêtres ?

J’ai 60 ans et je suis propriétaire d’une maison à Sainte-Sophie au nord de Montréal. J’ai travaillé 20 ans dans le domaine aéronautique comme employé et maintenant je suis à mon compte.

Ici au Québec, nous sommes couverts par une assurance maladie complète fournit par le gouvernement, mais nous devons payer pour une assurance dentaire privée ou avoir une assurance collective fournit par notre employeur.

Au Canada, aux États-Unis et dans les pays d’Europe Occidental, le système d’assurance santé repose sur un principe stupide, idiot, voire insensé selon lequel les soins dentaires sont en quelque sorte une option, voire un luxe.

Comme si la bouche était séparée du reste de notre corps !

 

Annulation de mes assurances dentaires

Ainsi, lorsque j’ai eu à me faire des couronnes dentaires j’ai pris conscience du grand fossé qui sépare la médecine et la dentisterie. En particulier sur ce qui est payé ou non par les assureurs, sur le pourcentage du remboursement et sur la couverture maximale par année.

Par conséquent, ma décision fut d’annuler mes assurances dentaires, car après mes 50 ans, je payais à mes assurances 1500 $ par année avec une couverture annuelle de 1500 $ par année.

Heureusement que j’avais déjà vécu plus de 5 ans à Cartagena, car maintenant je paye mes soins dentaires 50 à 75 % moins chers tout en ayant une meilleure qualité et des relations merveilleuses avec mon dentiste.

 

Une situation catastrophique pour des millions de personnes

Beaucoup de gens souffrent de graves problèmes dentaires en vieillissant et découvrent la même chose que moi, lorsqu’ils reçoivent leur diagnostic dentaire : UN CHOC TERRIBLE CONCERNANT LES TARIFS !

Dans les pays « développés », les soins médicaux et les soins dentaires sont des systèmes séparés. La différence est que les prix des interventions dentaires majeures comme les implants dentaires, les couronnes dentaires et les bridges dentaires sont si élevés qu’ils ne sont pas à la portée des gens ayant des assurances ou non, même pour ceux faisant partie de la classe moyenne.

 

Une couverture qui ne couvre que les soins de base

Pour des millions de gens qui ont des soins dentaires de base, l’assurance dentaire fonctionne assez bien, car ils ne pensent pas beaucoup aux problèmes qu’ils auront à vivre éventuellement.

Mais des personnes comme moi apprennent à leurs dépens que l’assurance dentaire n’est pas une assurance du tout, ni une protection significative contre les coûts inattendus ou inabordables.

Les polices dentaires ressemblent davantage à des régimes de pré-paiement pour des soins dentaires de base. Elles couvrent généralement 80 % concernant les services de prévention, les nettoyages, les radiographies, les examens de routine, les petits traitements comme les obturations et les traitements de canal. Mais la couverture diminue à mesure que le traitement s’intensifie.

Par exemple, un travail important comme une couronne ou un pont dentaire n’est souvent couvert qu’à 20 % et les implants ne sont généralement pas couverts du tout.

 

Des traitements dentaires majeurs non couverts

Il y a quelques années, alors que j’avais environ 50 ans, un ami nommé Jacques, et ayant un travail de machiniste dans une petite entreprise, a souscrit à une assurance privée dans l’espoir d’obtenir un traitement contre la carie dentaire progressive.

Il avait besoin de deux implants mais, à sa grande surprise, le plan ne couvrait pas les implants dentaires. Pour payer la facture de 11000 dollars, il a dû emprunter l’argent. « L’assurance dentaire est fondamentalement inutile », me disait-il. « C’est une illusion, un gaspillage d’argent, et un autre cas des nantis par rapport aux démunis. »

Quant aux gens plus âgés, beaucoup perdent leur assurance lorsqu’ils prennent leur retraite d’un emploi, pendant qu’ils souffrent de problèmes dentaires grandissants. Selon certaines études concernant la prévention des maladies dentaires, 70 % des personnes âgées de 65 ans et plus ont une forme de maladie parodontale. Pourtant, les régimes d’assurance maladie de base n’incluent pas la couverture dentaire.

 

Le tourisme dentaire en Colombie

À chaque année, je prends rendez-vous et je visite mon dentiste à Cartagena en prenant des vacances dans le sud au mois de janvier. Bien que mon dentiste soit mon beau-frère (je suis marié avec une Colombienne), ses prix sont de 75 % moins chers que ceux au Canada, en France ou autres pays occidentaux.

Contactez-moi si vous désirez plus d’information à ce sujet et ainsi économiser des milliers, voire des dizaines de milliers de dollars.

Et de grâce, gardez votre argent, au lieu de payer des assurances dentaires inutiles !

 


 

A propos de Claude Lasante 456 Articles
Depuis plusieurs années, je crée des sites web pour les dentistes avec qui je travaille en Colombie afin de permettre d'augmenter mon expertise dans ce domaine et ainsi rédiger des articles et des pages utiles aux gens. De plus, en ayant vécu 5 ans à Cartagena en Colombie m'a permis de connaître la ville, le pays et les gens afin de bien guider les patients ou visiteurs à prendre des décisions bien avisées pour passer un séjour agréable, sécuritaire et satisfaisant dans ce pays d'Amérique du Sud.